Albert Camus

Résumé

Pour écrire tout type de livre, le vécu et la créativité sont les maîtres mots afin d’avoir le succès escompté. Il faut aussi un peu de chance mais la plupart du temps une bonne histoire se fera remarquer peut-être pas dans les années suivant sa parution ou un peu plus tard, c’est là que votre chance entre en jeu.

Biographie

Né en Algérie en 1913, Albert Camus meurt accidentellement le 4 janvier 1960 à Villeblevin à l’âge de 40 ans. Il a plusieurs cordes à son arc, tant tôt, philosophe, écrivain, essayiste ou nouvelliste. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est un journaliste et militant engagé dans la Résistance Française, il est aussi proche des pensées libertariennes de l’après-guerre.

Il fait ses études à Alger, dans l’école de sa ville où il se fit remarquer à 10 ans par son instituteur, Louis Germain qui fit énormément pour lui. Albert Camus lui dédiera son prix Nobel. Il partit ensuite au lycée Bugeaud mal vu par sa grand-mère qui souhaite-le voir gagner sa vie bien plus tôt. Il entre en classe de philosophie à l’automne 1930 mais doit patienter encore un peu ayant une tuberculose, il allât donc se faire soigner. C’est ensuite qu’il obtiendra son diplôme d’études supérieures en Lettres, section philosophie en 1936.

Parmi ses œuvres écrites il y a les romans, quelques nouvelles, des films et des poèmes tout en s’essayant au théâtre. Il fait paraître des essais où il développe dans celui-ci une prise de conscience de la condition humaine, la révolte comme réponse à de nombreuses choses comme l’absurde, une révolte qui donne sens au monde. Ce sont les fondations de l’humanisme qu’il développera et qui lui vaudra un prix Nobel en 1957.

Écrivain pour le journal Combat, il prend position sur plusieurs questions dîtes fâcheuse à cette époque comme l’indépendance de l’Algérie, les inégalités faites sur les musulmans d’Afrique du Nord, ensuite contre la caricature faîtes sur les pieds noirs. Il prend aussi parti des Espagnols exilés antifascistes, qu’il défend face au stalinisme, tout en ayant été au sein du parti communiste algérien, dans lequel il était inscrit durant 2 ans, duquel il parlera aussi dans le journal. Se retrouvant en marge sur certains courants philosophiques de son époque. Ne cessant de lutter contre ses idéologies qui pour lui détournent l’humain. Il s’impose comme un opposant à l’existentialisme et au marxisme.